Bureau des doléances

Merci de vostre compréhension envers les religieux Bourguignons en quête de savoir

Dites moi, cette semaine, c'est semaine religion non ?

Le duché manque bien de religieux ?

Alors pourquoi les cours sont ils inaccessibles ?

Il y a quelquechose qui m'échappe...soit il y a beaucoup de tamagos errants, soit certains ne devraient pas suivre les cours promulgués.

Il y a t'il eu un envoi de missives prévenant les non religieux de ne pas encombrer les places ?

Celà m'ennui car la qualité des prêches dépend des enseignements suivis...et comme c'est un vrai parcours du combattant pour suivre un cours de grec...les prêches s'en ressentent...et le moral des villageois aussi

M4DBORIS a écrit:

Alors pourquoi les cours sont ils inaccessibles ?

Comment ça inaccessible? C'est sur qu'il ne faut pas aller à l'université une heure après que les cours aient été validés car il n'y aura évidemment plus de place...
Les horaires de validation des cours sont indiqués dans le planning

Je commence à saisir le principe de l'université messire gothyra ...mais j'ai beau me pointer à l'heure dite et soit y'a rien, soit c'est complet.
Je ne comprend pas, je me reloggue avec acharnement pendant plusieurs minutes et quand enfin le cours apparait...il est complet.

Certains auraient ils volé l'agenda du recteur pour savoir à quelle minute le cours va apparaitre ?

Ce soir, encore une fois, je me retrouve le bec dans l'eau...
Il est 19h52 et le cours de latin de 20h est déjà validé ET complet.

Bref, c'est pas encore pour cette fois.

Heureusement que c'est une semaine Eglise et que j'ai tous les soirs la chance de rejouer
Et moi qui songeait à passer noble pour écourter mes études...bien mal m'en aurait pris

Ca y est, je suis officiellement un chieur où j'ai encore de la marge ?

Attraper un cours n'est pas évident, c'est un peu la lotterie, alors persévérez et vous y parviendrez

La pente est abrupte et la route est longue...puissent mes fidèles être assez patient pour attendre un prêche vraiment tonifiant

Il me semblait avoir fait la suggestion suivante...à savoir que les langues soient inscrites au même rang que les matières religieuses (de la même couleur dans le panneau d'affichage) afin de faire CLAIREMENT comprendre que les langues sont utiles pour les théologiens...et uniquement pour eux.

Pourriez vous y songer Messire Recteur ?

Bonjour mes enfants du Très Haut,

Je souhaiterais suivre le cours de latin de samedi 25 octobre 1456. M' autorisez vous d'essayer ?

Je vous remercie de votre réponse et vous adresse mes plus Aristotéliciennes amitiés,

Neocor, Archevêque de Tarentaise.

[Bonjour !

Je me demandais s'il ne serait pas plus aisé de mettre dans le premier post des fiches descriptives une sorte de table des matières avec des liens permettant de se rendre directement sur sa fiche ?

A la limite, si ça prend trop de temps, vous me donnez les droits le temps que je le fasse et hop ! ]

Dama Rectrice,
C'est plus une question qu'une doléance.
Est-il toujours utile de tenir à jour sa fiche de connaissance? J'ai mis ma fiche à jour régulièrement comme demandé, mais personne, depuis des mois ne semble être venu la relever, si j'en crois le nombre d'EDIT encore présent.
Merci d'avance.
Bulean

Citation :

Réponse aux propos de la rectrice en Salle des étudiants de la voie de l'Eglise

Madame la vicomtesse, et rectrice de l'Université de Bourgogne,



Je vous destine ces lignes, publiquement, que j'afficherais dans le bureau des doléances de la voie de l'Eglise, suite aux propos que vous avez tenu dans le même temps que vous avez annoncé réduire le nombre de cours de a voie de l'Eglise.

Pour mémoire, je cite ces paroles:



Citation :

Bonjour

Voyant que la voie de l'Eglise se consacre quasiment qu'a la politique
Voyant que les cours en fin de compte ne sont pas suivi totalement
Voyant qu'il n'y a plus une seule messe dans les villes de Bourgogne
Voyant qu'il n'y a plus de prêches non plus

Sachant que les cours de langues sont considérés comme des cours pour la voie de l'Eglise
Sachant que la médecine avance a grand pas, et qu'a leur actuelle les médecins sont denrées rares.
Sachant que le monde Arabe s'ouvre a nous par la nouvelle langue, tout en espérant que l'Eglise ne voie pas la un débordement sur sa belle langue latine

J'informe le Duché qu'il n'y aura plus que 4 cours voie Eglise,
Nos chers curés, évêques pourront enfin se dédier la leur politique qui leur est si chère


Je tiens à réagir, non pas à la réduction des nombres de cours de la voie de l'Eglise dont le bien fondé peut s'expliquer par e besoin de médecins formés et compétents, et l'engouement pour les langues de l'Orient, mais aux assertions inexactes formulées sur les étudiants de la voie de l'Eglise, que j'ai souligné.

Vostre première affirmation est fausse. Les doigts d'une main ne suffisent pas à compter les clercs engagés en politique en Bourgogne. Une telle affirmation non renseignée ne peut qu'exprimer vostre méconnaissance du clergé bourguignon, ainsi que de la politique bourguignonne. J'ai jugé qu'il importait de vous rectifier sur ce point.
L'intérêt de quelques clercs pour la politique, chose naturelle et saine, encouragée par le dogme et le Droit Canon, n'est donc absolument pas la cause du peu de suivi des cours. Plutôt que de prétendre qu'il s'agirait là d'un manquement lié à la participation du clergé à la vie politique de Bourgogne, vous auriez pu songer, et à raison, qu'il s'agissait là de la conséquence d'autres devoirs des clercs ou étudiants de la voie de l'Eglise: ainsi, ne parlant que de mon cas personnel, le non suivi des cours de l'Université par ma personne est la conséquence de mes obligations d'artisan, la ville de Chalon étant peu pourvue de forgerons actifs.

Vostre troisième affirmation, qui est qu'il n'y a pas une seule messe en Bourgogne, est parfaitement fausse et démontre un manque de piété de vostre personne, qui n'avez pas assisté à l'office dans nostre ville de Chalon depuis fort longtemps, manifestement, pas même à la Saint Noël - je ne puis croire, en effet, que vous ayez prononcé ces mots sans les penser, quand bien même ils sont faux. J'ajoute que des messes ont régulièrement lieux dans presque toutes les villes de Bourgogne; il eut été sage de vous renseigner avant que de dire des sottises dommageables au clergé, à sa réputation et à la confiance légitime que les Fidèles ont en lui.
J'ajoute que des messes In Gratibus sont également régulièrement données, malgré l'absence d'un évêque d'Autun et d'un évêque de Langres qui retarde la nomination de curés dans plusieurs paroisses, y compris, comme vous ne le savez probablement pas, à Chalon. Dans le diocèse de Nevers seul, les messes In Gratibus sont servies, et même dans le diocèse d'Autun, les fidèles bénéficient à Autun même des services d'un curé.

Enfin, vostre propos sur les prêches est pareillement faux, ayant moi-même eu l'occasion d'en écouter une à Sémur il y a peu de temps. Pareillement, vos propos indiquant que les évêques pourront se consacrer pleinement et quasiment exclusivement à leur activité si chère qu'est la politique me semblent directement diffamatoires, le seul évesque bourguignon étant pour l'heure Mgr Fitz, évêque de Nevers, qui tient l'administration de son diocèse avec rigueur, sans qu'il y est cause de s'en plaindre et dont les Fidèles ne se plaignent d'ailleurs pas.


Ainsi, madame la vicomtesse, il semble que ce ne soit pas le clergé qui se détourne de ses devoirs cléricaux au profit d'activités politiques, mais plutôt vous-mêmes qui faites entrer dans les murs de nostre université des considérations qui ne devraient pas s'y trouver, vous faisant l'écho de discours politiques mensongers et dangereux. A l'à venir, je vous engage fortement, plutôt que de raconter balivernes sur les étudiants de la voie de l'Eglise, leur prêtant des intentions, des actions ou des inactions qui ne sont pas les leurs, à prendre la peine de vous renseigner avant que d'engager une sape de la confiance des Fidèles dans le clergé bourguignon par la propagation de rumeurs infondées.


Sur ces mots, je vous souhaite la bonne année. Puisse-t-elle vous apporter santé et joie, et puisse le Très-Haut inspirer vostre office et vostre personne pour que vous ne quittiez plus le chemin de la Vertu.


Bénédictions,


Faict le Premier jour de l'an 1461 à Chalon,
Par Monseigneur Aegon

Citation :

Madame la vicomtesse,


La pauvreté de vostre réponse, tant dans la forme que dans le contenu, me laisse pantois.

Je vous écris pour protester contre les propos faux et dommageables que vous a tenu sur les étudiants de la voie de l'Eglise et le clergé, et vous me répondez que je suis envieux parce que je ferais la course à la mairie et au duché. Est-ce donc à dire que c'est en raison de ressentiments que vous avez personnellement à mon égard que vous tenez des propos mensongers à l'encontre de tout le clergé et des étudiants de la Voie de l'Eglise? Puisqu'il est ainsi, je vais vous répondre du même.

Madame la vicomtesse, si tous ceux qui font de la politique sont des envieux, il faut que vous soyez vous-même une grande pécheresse, et nombre de vos amis avec vous, n'est-ce pas? Non, madame la vicomtesse, l'intérêt pour la vie publique n'est un péché ni pour moi ni pour vous, et, heureusement, les Prophètes nous enseigne que l'humain vit en société et que le don de soi est une Vertu.

Je vous prie donc de cesser de raconter des balivernes à mon endroit, en prétendant que j'aurais rompu mes voeux, sans quoi je me verrais dans la triste obligation de déposer une plainte pour diffamation auprès de la procure de Bourgogne. Cela m'attriste, mais c'est peut-être la seule façon de vous montrer la nécessité de mesurer vos paroles et de vous interroger au moins un instant sur leur véracité. Voyez-vous, je me lasse des rumeurs que vous avez lancé contre moi en divers temps, me prétendant tantôt maire dangereux, tantôt maire spoliateur, tantôt d'incurie, tantôt de mensonge, tantôt de d'être un profiteur de guerre et un corrompu, le tout sans jamais avoir une preuve et souvent contre l'évidence manifeste de la fausseté de vos accusations.

Vous m'accusez encore de mentir, aujourd'hui, en prétendant que j'ai dit qu'il y avait des prêches à Chalon. Je n'ai point menti car je n'ai pas écrit cela. Relisez mon courrier - cela aide pour y répondre, je vous assure - et cessez vos propres mensonges. Ce n'est pas la première fois que vous agissez de la sorte et cela me lasse plus que je ne saurais vous l'exprimer. Quant à renier vostre foy, je ne crois pas l'avoir jamais dit... Non, plus exactement, je sais ne l'avoir jamais dit.

Il y aurait en effet moult choses à dire, à commencer par vous apprendre que le clergé représente en effet l'administration de la foy de par son ministère sur le culte. Je représente donc bien la croyance en Aristote, mais pas seulement - je pense qu'un petit rafraîchissement pastoral s'imposerait pour vous - car Aristote n'est qu'une des facettes du duo prophétique et que tous deux portent aux humains les volontés du Très-Haut.


Sur tout cela, j'ajoute que je vous souhaite toujours la bonne année quand bien même vous vous refusez à rendre la courtoisie, ni même à seulement écrire un bonjour ou une formule de politesse.

Le Très-Haut vous montre le chemin de la Vertu,
Bénédictions


Mgr Aegon, à Chalon, le second jour de 1461

Il y a eu 7 cours de grec depuis le début de l'année contre 4 cours de langues modernes et 4 de latin, mais je ne peux pas délaisser les autres langues au profit exclusif du grec. J'effectue un roulement entre les 3 mangues bien que je favorise un peu le grec, comme vous pouvez le voir avec ces statistiques.