Entrez à l'Hospice de Dijon on y trouve soupe bien chaude.

Ben moi j'aimerais bien qu'on m'offre quelques miches de pain !
D'après l'annonce la Duchesse elle-même en offre aux nécessiteux !
Moi j'aimerais bien qu'elle m'en offre, la Duchesse.
Parceque des miches de pain, c'est pas tous les jours qu'il en tombe du ciel.

Coluche qui sortait de l'amphithéatre de hospice tomba sur Tubul

Tiens, encore là toi ?
Tu veux du pain ? Arf, j'arrive demain à Dijon, je t'en offrirais va ! si tu me donnes l'adresse d'une bonne auberge...

Armori venait de quitter l'Assemblée et se rendait à l'amphithéâtre quand elle vit le Général en discussion avec un homme dont le visage ne lui était pas inconnu.

Rebonsoir, Général, messire... Messire Tubul, je crois ? Nous nous sommes croisés, un peu plus tôt, à l'entrée. Venez avec moi, je vais vous indiquer la salle de réfectoire.

Elle prit la direction de la vaste salle où était donnée la soupe populaire.

Messire ? Moi ?

Il se pencha alors vers Coluche.
Y'a qu'une seule taverne d'ouvert à Dîjon en c'moment ! En dehors de la communale. Aucune n'est mal frequentée, mais la privée est moins chère...

Il reprit alors le chemin avec la Duchesse.

Aristote a du me bénir, me voilà emporter par la Duchesse en personne. Jamais je ne vous trahirais, ah ça non !
Le réfectoire, 'jaurais de quoi manger ?
Alors j'vous suis m'dame la Duchesse !

Tout en le guidant, Armoria répondit :

Si-fait, messire, soupe chaude avec des légumes, parfois même un peu de viande, selon les dons reçus. Tenez, c'est ici, ajouta-t-elle en montrant une porte.

Pour ma part, je dois vous laisser afin que de retourner travailler au Conseil. La bonne nuitée, messire, et que votre pitance vous fasse grand profit !

Sur un dernier sourire, elle tourna les talons et retourna vers la salle du Conseil.

Avant de passer dans le réfectoire il salua la Dame bien bas.

-Aristote veille sur vous m'dame BonCoeur.
On a d'la chance nous les pauvres de vous avoir à la tête de not' Duché !
Oui, on en a d'la chance...

Il continuait de marmonner en entrant dans la salle de réfectoire, remplie de loqueteux, lépreux, mendiants... Il s'en accomoda eu égard à la soupe, chaude et revigorante.

Citation :

mais la privée est moins chère...

Oui c'est celle de mon bon ami messire Vinstyle et Dame Erwyndyll. La prochaine fois que vous irez, dites que vous venez de ma part, ils vous offriront pitance et bières gratuites, s'ils doutent, dites que je les rembourserais.

Se penche vers Tubul : je vais même te dire un secret, l'ami, ils viennent de se fiancer mais chut faut pas le dire, on n'est pas sensé être au courant, ils l'ont pas encore annoncé

Bah, Aristote les bénisse !
Moi c'que j'en dis c'est qu'ça me remplira pas ma bourse.
Le bonheur des uns fait ptet un peu mon bonheur...

Tubul, ça te dirait de gagner quelques écus ?
Je vais te la remplir ta bourse !
Toi qui connait les bas-fond de Dijon, tâche de te renseigner sur un dénomé Volincus et de savoir la date de son arrivée en Bourgogne... Il paraît qu'il a des complices à Dijon...
Tu seras bien récompensé mon ami !

J'vais voir c'que j'peux faire...
Votre ami m'a déjà payé un coup à boire.
Bien brave homme...

arf, Vins c'est Vins...
Mais il a un coeur d'or

Moi j'aimerais bien avoir un coeur d'or.
Avec ça au moins j'pourrais m'payer mon entrée à l'assemblée Bourguignonne.

askavian mis pied a terre il arrivait tout droit de macon,

d'ou son bon colonel lui avait dit qu'il pourrait etre utile aux hospices.

Il chercha quelqu'un du regard, qui puis le renseigner.

Je sortis de mon bureau pour marcher dans la rue lorsque je vis un Sir arrêté devant les portes, il semblait vouloir quelque chose

" et bien mon cher, que cherchez-vous? Vous voulez des renseignements? "

Je souris tout en regardant l'homme qui se tenait face à moi...

le bonjour monsieur

je me nomme Askavian et je viens preter la main aux hospices...

je viens de la part du colonel Wolfar, je suis Frere Herboriste, et barbier...

j'ai exercer quelques années en compagnie hospitaliere itinerantes et me suis installer voila peu a Macon, ne voulant pas perdre mon savoir et etant toujour desireux d'aider mon prochain...

je viens pousser la porte des hospices...

Je souris, puis je répondis:

" enchanté de faire votre connaissance, je me présente, Antoineleroy, médecin des hospices de Dijon.
Le colonel Wolfar a eu raison de vous emmené ici.
Entrez-donc, je vais vous présenter les lieux et là où vous pourrez jouir de vos connaissances et de vos talents... "

Je souris en poussant la porte puis nous entrâmes dans l'hospice